Roman COWBOYS^^

^Bon voilà j'ai écrit un "roman" ou un "scénario" comme dienst mes parents...Enfin je suis en train de le taper à l'ordi...Je n'ai que 13 ans,le style ne va peut-etre pas vous plaire ni l'histoire^^ ,enfin bon je met la première page de ce que j'ai déjà écrit (...), pour Oeil de Faucon,XD!! donnez vos comm's, ce que vs en pensez surtot...et le styla aussi,lol!!


PS: pas encore de titre,je sais vraiment pas ce que je peux mettre,mdr!!

Le jeune cowboy faisait avancer sa monture d’un pas souple et régulier. D’un mouvement bref de la main il baissa son stetson sur les yeux. Le jeune homme avait environ 19 ans, il était vêtu d’une chemise bleue à carreaux mouillée et légèrement décolorée par la transpiration suite à une de ses longues journées passées à cheval. Il portait un jean bleu foncé recouvert de chaps à franges de cuir ; ses bottes étaient munies d’éperons en fer. Ses courts cheveux noirs qui dépassaient de son Stetson lui collaient au front.
Il mit pied à terre devant un saloon, passa pardessus l’encolure de Thunread, son quarter-horse
Bai clair, la longue rêne de cuir et l’attacha.
Il pénétra dans le saloon enfumé, plongé dans un fort brouhaha. Dans un coin de la pièce, un homme caché dans l’ombre plaquait des accords inaudibles sur un piano crasseux.
Le jeune homme s’assit au bar et s’adressa au patron, un petit homme rondouillard et trapu :
« Une bière !
-Y’a pas !
-Un whisky, alors, répondit-il en soupirant
-Y’a pas !
-Et tous les mecs qui sont en train de se soûler, tu leur à donné de l’eau peut-être ?!
-C’est ça !renchérit le gros affichant un sourire ironique
Tony, exaspéré se leva violement et saisit le col de la chemise du barman d’une poigne de fer
-Te fous pas de moi, et file moi à boire sinon c’est moi qui me sert !, ses yeux verts étincelaient de fureur.
Sur ce, il relâcha violement le petit homme qui s’enfuit chercher une bière qu’il déposa avec précaution devant le jeune homme, qui lui jeta en retour une pièce sur le comptoir.
Il but, le liquide froid lui brûla sa gorge sèche, et, d’un revers de la main s’essuya la bouche.
Le brouhaha qui jusque là avait cessé, reprit de plus belle. Mais quelques minutes après il s’estompa et laissa échapper quelques sifflements admiratifs de cowboys.
Le jeune garçon suivit le regard des autres hommes et découvrit dans l’embrasure de la porte une jeune fille de 17 ans. Elle avait des cheveux bruns ondulés, des yeux noisette,
Mince, elle était de taille moyenne. Son jean noir s’accordait parfaitement avec ses bottes à franges et sa chemise blanche, à ses oreilles pendaient deux boucles ornées de perles turquoises. Elle se dirigea à pas lents vers le bar, s’assit près du jeune cowboy et demanda les clés d’une chambre au barman qui s’éloigna en chercher. En l’attendant, elle se tourna vers son voisin :
-Bonjour, je suis Kate et vous ?!
-Tony, répondit-il assez froidement en détournant le regard.
-Vous êtes du coin ?lui demanda-t-elle en souriant
-Sun Valley, quelques kilomètres…
-Ah, oui, je vois ! Et vous êtes ici pour……… ?
Tony soupira fortement et lança avec une pointe d’exaspération :
-Convoyer les bêtes du ranch du Loup Gris jusqu’au Texas, c’est finit les questions ?
-Je…euh.Oui, bien sûr…, balbutia la jeune fille en baissant les yeux confuse et surprise par le ton employé par le jeune homme. A ce moment, le barman déposa les clés devant elle.
Tony choisis ce moment pour s’éclipser, il se leva, porta deux doigts à son chapeau pour saluer Kate et sortit du saloon, heureux d’échapper à la jeune cowgirl qu’il trouvait vraiment collante !


-Hello Boy, how are you?
-Ca va bien, merci, répondit Tony en souriant à Jeff Figter un cowboy d’une cinquantaine d’année, qu’il avait rencontré quelques jours auparavant, apprenant que se serait un cowboy de tête tout
Comme lui, lors du convoyage. Ils avaient tout de suite sympathisé ; Tony appréciait le comportement paternel qu’il employait avec lui.
-Prêt pour le convoyage ?!
-Oui, j’ai hâte de partir, enfin !
-On est toujours impatient quand on est jeune ! Allez, je vais seller mon cheval, on se retrouve tout à l’heure, boy !
Tony sourit puis attrapa sa lourde selle et la bride de ses chevaux et alla les préparer.



Il s’était fait engager cinq jours auparavant pour un convoyage de bétail qui devait durer environ un mois et demi. Le propriétaire des bêtes, le ranch man : Buck Havard, emmenait environ cinquante têtes de troupeau en Arizona où il les échangerait contre une soixantaine d’autres vaches et poursuivait son voyage jusqu’au Texas où il s’installerait dans son nouveau ranch.
L’itinéraire était particulièrement long car ils devaient faire de nombreux détours. Partis du Minnesota, traversant le Dakota du Sud, le sud-est du Montana, puis tout le Wyoming et pour éviter les Montagnes Rocheuses qui occupaient tout le territoire du Colorado, ils passeraient par l’Utah, poursuivraient jusqu’en Arizona et iraient droit au Texas en passant par le Nouveau-Mexique.


D’un mouvement précis de la main, le jeune homme resserra la sangle de Thunread. Il s’avança ensuite vers Mountain, puis tapota légèrement sur le genou de celle-ci qui souleva sa jambe, Tony lui vérifia ses sabots et lui attacha un licol Américain, en corde. Sifflotant doucement, il détacha son étalon lorsqu’une voix qu’il connaissait déjà le surpris
-Bonjour Tony, je n’ai plus de licol, tu en aurais un pour moi, s’il te plaît ?
Le jeune homme se retourna, surpris et découvrit Kate devant lui, il soupira. Pourquoi se trouvait-elle systématiquement dans les parages ? Mais ce qui l’étonnait le plus était de la voir ici, en ce jour de départ.
Il y avait là une bonne cinquantaine de cowboys mais jamais une cowgirl avait participé à ce genre de travail,
qui durerait environ deux mois, en plus ! Tony fixa longuement la jeune fille en fronçant les sourcils
-Que fais-tu là ?
-Je participe au convoyage du bétail, pourquoi ?, répondit-elle en souriant
Tony la dévisagea et lâcha froidement
-On ne voit jamais de femmes dans ce genre de travail, tu auras du mal à être acceptée…
Kate répliqua immédiatement en s’emportant quelque peu
-Justement, il faut innover !!!
-Tu seras la seule, autant que tu sois prévenue…
-Et alors ? Je m’en tirerais bien mieux que tu ne crois ! Et ce n’est pas tes remarques ni celles des autres cowboys qui me feront reculer, dommage pour toi : je suis tenace !, lâcha-t-elle furieuse.
Tony la regarda, haussa les sourcils et tirant doucement sur la bride de Thunread, il s’éloigna, lâchant aux pieds de Kate un licol de corde.


Sous un soleil ardent, le cowboy amena sa jument palomino vers le Corral où paissaient les autres mustangs puis continua plus loin et arrêta son étalon au milieu des autres cowboys juchés sur leurs montures, prêts au départ.
Il attacha ses éperons par une fine lanière de cuir, puis, accompagné par le tintement de ceux-ci sur le sol rocailleux, il monta en selle et accrocha son lasso au pommeau de cuir. Il resserra sa large ceinture de cuir où était accroché son colt et autour des munitions et un petit couteau de fer tranchant.
Tony souleva son chapeau et se passa la main dans ses cheveux en bataille, puis il abaissa son Stetson sur les yeux. Caché par l’ombre de celui-ci, on ne pouvait voir que deux fines lèvres fermées.


Le claquement des sabots du cheval de Kate fit sortir les cowboys de leurs rêveries, plusieurs mauvaises langues lancèrent des remarques désobligeantes à l’adresse de la jeune cowgirl.
Un cowboy dont le visage était dissimulé par l’ombre que lui offrait son chapeau, fit trotter sa monture, une superbe jument noire qui tirait sur son hackamore et semblait vouloir échapper à la dure main de son cavalier.
Le mustang de Kate s’arrêta brusquement et releva avec brutalité l’encolure lorsque le cowboy vint lui couper la route et s’arrêta devant la jeune fille, l’empêchant ainsi de rejoindre les autres ranch mans qui faisaient sortir le bétail. Il lança agressivement à la jeune cowgirl :
-Tu te croies où, ce n’est pas le bac à sable ici!
-Laissez-moi passer !
- On n’a nullement besoin d’avoir des fillettes comme toi dans les pattes ! Tu ferais mieux de rentrer chez toi !
-C’est pas vous qui allez me faire changer d’avis ! Ni personne, maintenant laissez moi passer.
Mais le cowboy n’était pas de cet avis, il resta bien droit, assis en selle, affichant un sourire méprisant.
Lorsque Tony passa derrière Wake, au pas sur Thunread, Kate lui lança un regard suppliant.
Sous l’ombre du Stetson du jeune cowboy, elle ne put distinguer qu’un sourire amusé et vit Tony s’éloigner, l’ignorant.

???

Bravo!!
Il est méchant ce Tony
Le style est sympa Mais peut-être la cowgirl est-elle un peu trop 'gamine' dans la dernière partie du texte.. Mais ce n'est que mon avis
Felicitations, sinon c'est vraiment bien

oki,merci bcp!!! Bon ce n'est que la 1ere page du roman, donc une première approche des persos,mdr!!! mystère,lol!! sinon merci pour al fille,je vais essayer de "l'améliorer" !!!!!
merci bcp de tes remarques en tt cas!

De rien

je mettrais pE la suite après,lol!

N'hésite pas

okiiiiii!

EN VOICI LA SUITE (il en reste encore pelisn mais e vais pas tt mettre..........surprise...)








Le départ venait d’être donné.
Un bœuf roux, le plus puissant, prit la tête, martelant le sol par ses puissantes foulées.
Le troupeau suivait derrière à un rythme soutenu. Tony, Ted et Jeff Figter faisaient partie des cowboys de tête; leurs montures trottaient vaillamment à l’avant tout en restant à l’affut de toute bête qui aurait essayé de s’éloigner. Une génisse partie d’un côté opposé du reste du troupeau, Tony d’un simple petit coup de rêne appuyé fit pivoter son cheval et le freina en slinding stop, celui-ci bloqua ses postérieurs, dérapa sur le sable près de la vachette. Le cavalier lança son cheval vers l’égarée et la ramena facilement vers le troupeau.
En chemin, il vit un cheval sans cavalier qui broutait à côté de son ou plutôt de sa cavalière. Elle était agenouillée près d’un veau prisonnier des ronces. Quand l’étalon bai s’arrêta, Tony mis pied à terre et leva les yeux au ciel.
La jeune cowgirl tentait de délivrer le veau, mais sans succès. Le jeune homme la repoussa, sortit son couteau de sa ceinture et posa sa main gauche sur l’encolure du veau pour l’immobiliser, et, de l’autre main il trancha les ronces épineuses. Une fois libéré, le petit rouquin poussa un faible beuglement et courut rejoindre sa mère, tout apeuré. Le cowboy se redressa et remit son stetson sur ses cheveux mouillés.
Kate se releva et s’approcha du jeune cowboy ; elle semblait légèrement confuse. Levant ses yeux sur lui, elle dit simplement : « Merci » en esquissant un petit sourire. Tony ne le lui rendit pas, il la regarda et remarqua qu’elle portait une ecchymose sur la joue droite, sûrement due à un coup de pied du veau. Le garçon hocha simplement la tête, monta en selle et s’éloigna au petit trot vers la tête du troupeau. La jeune fille le regarda s’éloigna dans un nuage de poussière, puis une fois à cheval elle les rejoignit, chapeau baissé sur les yeux.


Le soir, à la faible lueur du feu, résonnaient des chants western accompagnés à la guitare ; enveloppés par la pénombre, Ted et Tony fumaient à l’écart. Ils restèrent un moment à contempler les ombres et les silhouettes des arbres se détacher sur le ciel azur de la nuit. Côte à côte, silencieux, leurs caractères étaient proches : solitaires, silencieux, indépendants… C’était peut-être là la raison de leur amitié…


Une semaine s’était écoulée, le convoyage achevait la traversée du Dakota du Sud.
Les rênes posées sur l’encolure, la jument palomino avançait encolure penchée vers le sol. Son cavalier, Tony, fermait à demi les yeux, tête inclinée vers le bas. Une de ses mains recouverte de poussière tenait la rêne de Mountain, l’autre reposait sur sa cuisse. Derrière son poignet se cachait son colt, secoué par la piste chaotique et le pas inégal du cheval. Les vaches, épuisées par la chaleur de ce début d’après midi, avançaient d’un pas traînant sur le sol sec et dur. De temps en temps une bête s’éloignait de la masse, mais bientôt remis dans le droit chemin par un cowboy.

Un coup de feu retentit. Un jeune cowboy, Luke venait d’abréger les souffrances d’une vache. C’était assez courant et les pertes étaient fréquentes. Néanmoins, Kate ne put s’empêcher d’avoir un sursaut et se mordit la lèvre inférieure. Tous les cowboys continuaient leur marche, impassibles, à se demander s’il avait entendu le coup de feu. « C’est un monde sans pitié » se dit la jeune fille.


La petite jument noire avait cessé de se débattre, suite aux nombreux coups donnés par son affreux cavalier.
Ses blessures semi-ouvertes laissaient pénétrer la poussière et les saletés. Kate ne supportait pas d’assister à un tel spectacle, elle haïssait cet homme. Non, elle ne laisserait pas cette jument dans cet état-là.


Le dîner était frugal : les cowboys, assis en tailleur autour du feu qui crépitait dans la sombre nuit, mangeaient lentement, épuisés par leurs rudes journées. Tony se nettoya les mains avec un linge mouillé, s’assit à côté de Ted, Figter, Luke et James sur le sol dur parsemé de cailloux. Le jeune homme sortit son couteau de sa ceinture et de son sac, sa gamelle en aluminium, cabossée et abîmée dans laquelle il versa une louche de bouillon tiède.
Avec son couteau, il trancha deux morceaux de pain de seigle, l’émietta dans sa gamelle et commença son repas.


Les chants quotidiens du soir se tarirent peu à peu, puis chacun sombra dans son sommeil, excepté Tony qui était de surveillance de troupeau cette nuit. Tout était calme, il s’assit donc sur un rocher qui surplombait la plaine, sous un arbre puis en fumant il surveilla les vaches et les chevaux.
Quelque chose bougeait dans l’ombre, derrière les veaux. Le jeune homme se leva et s’approcha prudemment, main sur le colt, il entendit des éclats de voix suivies d’un coup sec.



Kate, les yeux emplis de larmes avait porté la main sur sa joue, en face, Wake rugissait :
-Alors comme ça tu as voulu faire fuir ma jument, hein ?! Avoue !
-Espèce de monstre ! Vous êtes si cruel, c’est tout ce que vous méritiez !
Sa voix était agressive mais tremblait légèrement, trahissant sa peur.
Entre temps, Wake avait empoigné les rênes de sa jument, lui empêchant ainsi un seul de ses mouvements.
Il l’attacha fermement, puis s’avança menaçant vers la jeune fille qui reculait à chacun des pas de l’homme.
Tel un fauve qui s’approche de sa proie.

-Recule !, tonna la voix menaçante de Tony, sortie de l’ombre.
« Comment peut-il prendre le partit de cette fille ? » se dit Wake qui lança à Tony
- Tu ne devrais pas te mêler de ça, Tony…
Il avait employé un ton calme, posé qui ne fit aucun effet sur le jeune cowboy
-RECULE !, rugit-il.
Kate fut soulagée par l’arrivée de Tony. Elle voulu donc en profiter pour fuir, mais Wake lui administra une violente paire de claques. Son cri déchira le silence de la nuit, puis elle s’écroula à terre, terrorisée.

Les yeux de Tony brûlaient de colère, il bondit sur Wake, lui donna un violent coup de poing dans le ventre et un autre dans la mâchoire. L’autre cowboy ne s’attendait pas à une attaque si violente de la part du jeune homme, il encaissa les coups en se recroquevillant et glissa à terre.
Tony se massait ses phalanges endolories tout en fixant Wake qui se relevait péniblement. Ce dernier se tourna vers Kate et persifla
-Tony ne sera pas toujours là pour toi, et je ne resterais pas sur un échec !
Puis il s’éloigna en boitant, tandis que le jeune homme aidait Kate à se relever. Celle-ci s’essuya les yeux avec le revers de sa manche. Elle dit avec un sourire crispé, encore secouée par les sanglots
-Merci, je suis vraiment désolée…
Il sourit simplement sans pour autant répondre.
-Vraiment, je m’excuse…, lui répéta-t-elle
-Tu n’y es pour rien ! Allez, va dormir maintenant !, renchérit-il en gardant son petit sourire
Elle sourit faiblement, puis s’éloigna tandis que Tony retournait à son poste de surveillance.


Resserrant sa large ceinture d’armes, Tony fit un écart pour laisser les cowboys, qui, en selle, amenaient le bétail sur la piste de terre battue. Une fois hissé à cheval, il attacha son lasso autour du pommeau. Il se retourna, tout en soulevant son stetson pour jeter un rapide coup d’œil à Kate qui, très concentrée sur sa tâche, se tenait près des bêtes à l’arrière du troupeau. Quant à Wake, il semblait avoir oublié l’incident de la veille.



Le soleil était haut dans le ciel, Ted, Tony, Figter et les autres cowboys de tête menaient le troupeau dans un grondement lancinant.
Le passage du ruisseau n’était pas un moment très apprécié des cowboys, les pertes étaient nombreuses dues au courant et à l’affolement des bêtes. Mais le moment était venu de le traverser. Le troupeau s’engagea dans l’eau glacée en éclaboussant les autres bêtes.
Soudain une génisse s’empêtra dans la vase. Tony fit tournoyer son lasso au dessus de sa tête puis le lança vers l’encolure brûlante de la jeune vache sur laquelle il se resserra. Il put facilement sortir la jeune bête de l’eau boueuse.


Ainsi allait au fil des longues journées, sous un soleil ardent. Le bétail et les cowboys étaient épuisés, mais ils
Avançaient vaillamment, ne reculant devant rien. Les chevaux qui foulaient le sol rocailleux à longueur de temps, étaient soulagés à la vue du moindre morceau d’herbe moelleux et légèrement humide. Leurs membres étaient blessés et fourbus par l’inconfort de la piste.
Quand à leurs cavaliers, ils avaient les traits tirés par la fatigue, le visage et les mains recouverts d’une épaisse couche de poussière.

Outre le cliquetis des harnachements, le martèlement des sabots-estompé de temps à autre par le sable ou l’herbe épaisse-, quelques appels entre cowboys interrompant le silence des plaines. Les immenses étendues du Montana, qui regorgeaient de paix et de tranquillité, d’immenses étendues sauvages…



Kate chevauchait d’un pas lent, qui paraissait traînant face à celui emprunté par les hommes.
Elle jetait de temps à autre un rapide coup d’œil sur les bovins.
Ses muscles étaient endoloris, ses doigts recouverts de plaies dues au frottement de ceux-ci sur le pommeau de sa selle. Moins habituée et moins résistante que les cowboys qui l’entouraient, elle continuait courageusement, tellement pressée d’atteindre son but. Les remarques négatives des cowboys avaient cessé et elle fut étonnée de voir Wake complètement indifférent à elle. Elle soupçonnait quelque chose…Ne lui avait-il pas dit qu’il ne resterait pas sur un échec ? Elle frissonna à cette idée, mais repensa à Tony et se rassura. Toutefois il ne serait pas toujours là derrière elle. L’attitude du jeune homme l’avait bouleversée, pourquoi lui qui était si froid, si distant, si indifférent était-il venu la défendre, elle ? La jeune fille regardait le cowboy, il ne lui avait pas adressé un regard de la journée… Elle leva les yeux au ciel, réussirait-elle un jour à le comprendre ? Elle aurait bien aimé…



Figter et Tony trottaient côte à côte en silence, puis soudain Tony tourna la tête vers son compagnon
- Pourquoi as-tu accepté de faire ce si long convoyage ?
- Parce qu’il aboutit au Texas…
- Tu as un but précis là-bas ?
Les yeux de Figter s’illuminèrent
- Oui, ma fille ; Je ne l’ai pas vue depuis quatre ans, et elle m’attend…
- C’est long quatre ans…
- C’est vrai…Mais vois-tu, elle est partie depuis tout ce temps du Minnesota, et elle m’a supplié de venir la rejoindre au Texas : elle voulait que je sois présent à son mariage !
- Tu dois être heureux…
Le visage de Figter exprima toute la joie qu’il ressentait
- Je souhaite tellement arriver à temps !
Tony sourit, il se rendit compte ce que c’était de déborder de joie, savoir que quelqu’un vous attend, ne pas être seul…

merci!!!!
enfin ya tte il reste 3/4 pages d ela première partie, puis après ya tte la deuxième,XD^^^

sinon c'ets vrai ta passé le bac,ca été?