Sous la neige...

Le vent c'était lêvé, la neige recommencer à tomber. Pliant sous le vent, l'étalon noir marchait luttant de toutes ses forces pour revenir sur la terre où il voulait finir de vivre. Mais il en était encore loin...
Quoi que ?
C'était sur une plage comme celle-ci, avec du sable fin, qu'il l'avait rencontré. Un ange, gracille aussi blanc qu'il était noir. Un fils était né de leur amour, un fils qu'il n'avait jamaisélevé, qu'il avait à peine vut durant le misérable vie qu'il mennait aujourd'hui...
Mais chaque jour qui passait, chacune de ses pensées se dirigeait vers eux deux. Les êtres qui le poussaient à continuer à vivre...
Le vent doubla.
Un tronc d'arbre, inéspéré se faisait voir à l'horizon. Il prit la direction de l'abri et se cache derrière comme il le put, laissant son encolure se détendre, ses naseaux efflerants le sol.
Il lui sembla sentir une présence mais cela ne serait surement que le fruti de son immagination. Persone ne serait assez fou pour sortir par un temps pareil... Et lui repartirait bientôt, il avait encore du chemin à parcourir pour retrouver l'ange de sa vie...

Malgré la tempète qui se déchainait, il y avait un étalon qui marchait, la tête basse.
Son allure était plutot minable, et, bien que ne paraissant pas affamé, l'equidé était en piteu état : de la bout mélée à de la neige collait à sa robe et à ses crins, le rendant presque méconnaissable.
Pourtant, les grands naseaux de l'étalon étaient ouverts, et ils essayaient de capter le sodeurs que le vent glacial leurs apportaient.
soudain, Fuego s'arréta, et il releva la tête.
Une odeur l'intriguait, et il voulait mieu la capter.
Cette odeur, il s'en souvenait, sa mère la portait.
C'était celle d'un étalon que Fuego avait connu, mais dont il n'avait plus souvenir...
Cherchant dans sa mémoire, l'equidé restait sur la plage, la tête relevée fierement, défiant l'inconnu.

Une forme apparut soudain. Une masse sombre dans la tempète.
Derrière le tronc qui l'abritait quelques peu du vent, Khan pouvait voir cette Ombre. Un étalon sans aucun doute, bien batti, bien proportionné mais que l'hiver avait endommagé.
Et son odeur, une odeur propre à l'ange qu'il aimait. Derrière celle de l'étalon, il la reconaissait.
Peut-être avait-elle refait sa vie avec celui qui se trouvait devant lui.
Mais dans ce cas là, il était arrivée à destation. Arrivée certes, mais trop tard...
Khan fixait l'étalon de ses grands yeux bruns.
Il sortit de derrière son tronc et s'aprocha quelues peu de lui. De quelques pas seulement.
Le vent lui fouettant le corps, lui piquant les naseaux qu'il gardait piur capter l'odeur de celui qui se trouvait à présent en face de lui...

L'inconnu était sortit de sa cachette, sa masse sombre se détachant sur le décord blanc qu'avait façonné la neige et le blizzard.
De ses petits yeux scrutateur, l'étalon observa froidement cet étalon.
L'odeur de sa mère n'était pas très forte derière celle de l'autre étalon, il n'avait sans aucun doute pas cotoyé la jument blanche ces derniers temps...
Après tout, là où elle devait se trovue,r elle ne davait pas cotoyer beaucoup de chevaux sauvages...
Fuego ronfla aggressivement des naseaux, cachant ainsi sa peine.
Les oreilles du cheval cuivré étaient plaqués sur sa nuque.
Relevant légérement la lèvre supérieur, il finit ainsi de parfaire sa position aggressive.
Et d'une voix aussi glaciale que le blizzard qui les entourait, Fuego demanda à l'inconnu :
"Qui êtes vous?"

L'étalon qui se trouvait en face de lui avait une position fort agressive.
Assi, Khan, sur la défensive opta pour la même tactique.
Il arqua sa puissante encolure, plaqua ses oreilles contre son crâne, emmettant des rales graves qui sortait de sa bouche en formant de petits nuages de vapeurs.
L'inconnu lui posa une question. Il lui répondit pas la même voix froide :

- Quelqu'un à qui tu es inconnu !

Le tutoiment était venut naturellement. Il semblait plus jeune et cete odeur que l'on pouvait deceler derrière l'étalon cuivré troublait l'étalon noir !
Aussi, son esprit semblait le connaître mais son cerveau ne décriptait pas d'où...

L'étalon qui se trouvait en face de Fuego l'agaçaient de plus en plus.
Il se croyait donc invulnérable?
Le fait qu'il ai connu sa mère ne lui donnait aucun droit, et l'étalon n'était en plus surement pas de l'Ouest, car il ne semblait pas avoir été affecté par l'hiver glacial qui y sevisait...
Fuego claqua des dents, menaçant l'impertinant (^^).
"Tu est un étrangé, et tu n'est pas le bienvenu ici."

Ses yeux semblaient lancer des éclairs.
"Et la jument dont tu porte l'odeur ne sera sans aucun doute pas enchanté de te revoir..."

Sur ce point, Fuego n'en était pas certain, mais si cet inconnu avait connu sa mère, il l'avait laissée tombé comme on laisse tomber un trognon de pomme...Et comment pouvait on faire ça à sa mère?

(^^)

[Très belle métaphore ! Razz

]

L'étalon cuivré que Khan avait devant les yeux ne semblait pas heureux de le voir. Il n'était donc pas le bienvenue...

- Si ces terres t'appartiennes saches alors que je ne suis que de passage, je cherche seulement quelqu'un...

La deuxième remarque de l'aversere de l'étalon noir le toucha directement au coeur. Avec une voix qui portait beaucoup moins d'assurance que précédemment, il lui demanda, le coeur serré dans un étaux, vulnérable face à l'étalon :

- Tu la connais donc personnellement ? Est-elle en danger aujourd'hui ?

Si elle était en mauvaise posture, il s'en voudrait éternellement. Son but premier était maintenant de la sauver, même s'il ne savait où elle était...

Toujours aussi froidement, et ne perdant pas de sa contenance.
Il avait même gagné en assurance, l'inconnu en ayant perdu une bonne partit.
Sa voix devint sifflante, encore plus froide que précédement. La haine qu'avait l'étalon cuivré pour cet inconnu était presque stupide, mais Fuego sentait que cette haine n'était pas nouvelle, et que, bien qu'il ne le reconaisse pas, le jeune étalon et sa mère avait bien connu cet étalon là...
"Je connais cette jument bien plus que n'importe quel étalon, et si j'avais pus faire quoi que se sois pour elle, crois moi, je l'aurais fait il y a bien longtemps..."
Et c'était vrai, il avait tenté, en vain, de liberer sa mère des deux pattes, mais elle n'avait pas voulut de son aide.
Son desespoir d'avoir perdu celui qu'elle aimait s'était transformé en une rage sans nom pour les humains.
*Tu voulait que se sois eux qui te libèrent...*
Une larme, discrète, glissa au coin de l'oeil de l'étalon, pour disparaître aussi rapidement qu'elle était venue...

L'étalon noir au contraire se tassait sur lui-même, sentant chacun de ses os dessendre un peu plus vers le sol, ses muscles se détendres petit à petit.
Son encolure n'était plus droite et fièrement levé comme avant.
Et chaque paroles que l'étalon cuivré lançait le séscendait encore plus dans le petit mental qu'il avait.

- Oui, tu as sans doutes raison. Tu as dut bien protéger ta jument qui doit se savoir en sécurité avec un étalon comme toi. Toi, tu est fort et puissant...

Il ne le regardait même plus dans les yeux, mais dans un élan il releva l'encolure et bien que sa voix n'eut été qu'un faible murmure, dans ses yeux brillait de nouveau une étincelle de détermination.
L'étalon ne l'avait enfaite peut-être pas si bien protégé que cela. Mais lui aussi était en tord.
Tant pis, il devait essayer pour connaître la véritable identitée du cuivré.
D'une voix plus assuré, ses muscles se reveillants sous sa chair, se grandissant sur ses quatres membres, il lui dit :

- Pourtant, la dernière fois que je l'ai vut elle était enfermé dans un enclos entouré de grande barrière. Je n'ets pas était présent avec elle durant ces dernières années, ni au près d'elle ni auprès de...

°Lui...°
Il n'avait son fils qu'une ou deux fois.
Une fois à la plaine durant le primtemps, et déjà les relations étaient tendues.
Comment avait-elle dit ?

- Fuego.

Un murmure presque imperceptible sorti de la bouche de 'étalon qui regardait cette fois, fixement l'étalon opposé à lui...

Les flatteries de l'étalon avait encore augmentés l'orgueil de l'étalon cuivré, fier de voir son "adversair" se ratatiner.
Et pourtant, celui-ci n'avait pas perdu sa répartit, et apperement, il avait vu sa mère lorsqu'elle était chez les hommes...
A son tour, l'étalon se sentit rapetisser, fondre sur ses membres, redevenir le poulain qu'il était.
Il n'avait pas sû la protéger, et maintenant, il n'osait même plus aller la voir.
La peur? La honte? Les deux? Oui, ces deux sentiments le retenaient dans ces plaines bien aimées, où il pouvait galoper sans crainte.
Un murmur, presque imperceptible, sortit le jeune Fuego de ses pensées.
L'étalon se regrandit, retrouvant sa grandeur.
Comment cet inconnu connaissait-il son nom?
Peut être samère lui avait-elle parlé de son fils...Oui, c'était ça, car sinon, comment cet étalon noir pouvait-il le connaître?
Néenmoin, Fuego restait troublé, et muet.
Comment un seul mot, comment son seul prénom pouvait-il lui faire perdre la parole.
En fait, ce n'était pas vraiment son nom qui le terrifiait, c'était plutot la terrifiante idée qui s'immissait peu à peu en lui.
Cet étalon noire, qui semblait si bien connaître sa mère, peut être était-ce...
*Non, il est mort, et même si il ne l'est pas, jamais il n'osera revenir!*
Fuego lança un regard glacial à l'étalon
"Comment connaissez vous mon nom?"

Son regard plein de détermination vit petit à petit fondre l'adversaire qui se trouvait en face de lui.
Il semblait se passer tant de chose dans sa tête, il semblait chercher tant de réponse.
Et la question tomba, net, brève, froide !
Comment conaissait-il son nom ?
Il se rappellait Sun' avoir appellé le poulain qui l'accompagnait dans les plaines par ce même prénom.
Se pouvait-il que ?
Non ! Et pourtant... Avec reflexion, il revit la forme de sa tête, la forme de son corps, l'éclat de ses yeux... Bien qu'il ne voulut se l'avouer, cet étalon cuivré qui se trouvait en face de lui aven quelques ressemblence avec l'ange blanc qu'il connaissait si bien. Et cette détermination dans le regard, se port de tête si fier... Il aurait put se revoir à son 'jeune' âge...

- Une jument blanche ne l'a dit un jour où je l'ai croisé dans les plaines.
Une jument blanche brillant comme un soleil, avec derrière elle, un poulain pas si jeune que cela...

Il n'en était pas certains mais il se pouvait fort bien que celui qui se trouvait devant lui ne soit que l'union d'un amour aujourd'hui fragile...

Oui, c'était ça, sa mère lui avait présenté son poulain, et l'inconnu n'avait aucune place particulière dans sa vie.
Fuego avait grandit avec cette idée ferme qu'il n'avait pas de père, car il l'avait regné, le voyant s'enfuir face aux responsabilitées.
Il n'avait qu'un pale souvenir de se père indigne, une ombre planant au milieu de ses souvenirs joyeux avec sa mère.
Cette ombre avait remplit de bonheur la jument qui avait assumé seule l'education du turbulant poulain.
Et, l'instinct de l'étalon lui souflait que de toute manière, il n'avait pas besoin d'un père.
Après tout, cet éducation à la dur l'avait rendu plus fort et déterminé!
Pourtant, un doute subsistait : pourquoi portait-il une doeur si forte de sa mère, alors qu'il disait qu'il ne l'avait croisé qu'une fois?
Il fallait en avoir le coeur net.
Maintenant, l'étalon cuivré avait retrouvé son assurence, et il fixait l'étalon noire de ses yeux perçants.
"Alors pourquoi portez vous l'odeur de ma mère si vous l'avez simplement croisée?"

Sans vraiment en prendre conscience, Fuego avait avoué que la jument blanche était sa mère...

Sa mère...
Le doute qui planait sur l'étalon noir se divisa de moitier. Il ne restait que peu de risque que cet étalon ne soit pas son fils.
Il entendit et comprit parfaitement la question mais autre chose lui trottait dans la tête à présent. Ils étaient deux, ils tenaient tous deux à la jument blanche, pourquoi ne pas unir leur force juste pour la sauver. On aviserai après.
Il éluda la question de l'étalon et lui dit :

- Nous sommes tous les deux et Sunshin à besoin d'aide. Pourquoi ne pas unir nos forces durant queslques heures juste pour la sauver, et voir après...

Puis, levant les yeux au ciel, pensif il ajoute d'une voix moins déterminé, plus évasive :

- Je ne l'ai pas croisé qu'une seule fois.

Quelque chose planait sur cet étrange étalon.
Il ne disait les choses que mistérieusement, et il semblait très pensif.
De plus, Fuego avait comme un vague souvenir dans lequel l'étalon noir semblait s'y trouver...
Peut être que c'était la fois où il avait rencontré sa mère...
L'étalon se souvenait d'une haine sans nom, qu'il portait encore, pour son père...
La suggestion de l'étalon noir fit sortir Fuego de ses pensées.
C'était peut êtr eune bonne idée...
Septique, il lui dit :
"On peut essayer...et puis, elle pourra sans doute nous éclairer..."
Sans rien ajouter, Fuego fit demi-tour, et il commença à trottinner vers la village des cowboys, sans attendre l'autre étalon.

L'étalon noir se mit au pas derrière l'étalon cuivré. Il partait devant, Khan suivait.
Lorsqu'il fut à une distance repectable, il prit à son tour le petit trot, la tête levé vers le soleil naissant, qui perçait doucement entre les nuages. Perdu dans ses pensées, un petit sourire se dessinant petit à petit sur ses lèvres, gardant toujours un oeil sur l'étalon devant lui. Ne pas le perdre de vue était son objectif.

[Tu crée ou je crée ?]

[Je le fais, au parc des chevaux ^^]

De son trot aérien (^^), Fuego quitta la plage.
Il sentait l'autre étalon le suivr,e bien qu'il reste à une distance respectable, et Fuego appréciait ça...

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